Caroline Coppé, entre N(nomadisme) et P(oésie)

Il y a dans le dernier livre de Caroline Coppé (Nommons le mot nomade, paru chez Eléments de langage, Bruxelles) un mystère insondable que je n’arrive tout bonnement pas à percer en dépit de six lectures, c’est dire ! Il (ce fameux mystère) est composé d’un mélange curieux de phrases simples et d’autres plus métaphoriques, de…