Le Pulitzer a toujours un prix…

Bon, vous le savez sûrement aujourd’hui, Le Chardonneret, ou plutôt The Goldfinch, a reçu le prix Pulitzer 2014, catégorie « fiction ». Autant vous dire que cela fait un drôle d’effet, même si je ne suis qu’indirectement concernée, car c’est l’original qui a reçu le prix, pas ma traduction. Les effets ont été assez immédiats : la…

Un siècle de retard, ou une traduction qui se cherche…

Eh bien, à force de gratter, et surtout d’échanger avec son (charmant) auteur, je viens de découvrir que ma traduction du moment – Merivel, a man of his time – annoncée dans les épisodes précédents comme étant du XIXe, puis du XVIIIe, était finalement du… XVIIe ! Voici au moins une bonne chose de réglée ! Mais…

Traduttore, traditore ?

Ah, la grande question est de nouveau lancée ! Et je ne peux vous garantir que j’y répondrai, même si, profondément, je suis d’emblée assez convaincue que toute traduction, aussi bonne soit-elle, est forcément une trahison puisque transposant dans un contexte allochtone une histoire autochtone… Mais mon propos ici sera moins théorique et plus pratique…