Articles balisés ‘traduction’
10 secrets à propos du Chardonneret

1- Le Chardonneret a été traduit à St Gilles, une des 19 communes de Bruxelles (non loin de Molenbeek…) par une Française tombée là presque par hasard après de nombreuses années ailleurs. 2- Le marathon de traduction a duré 6 mois (plus 1 mois de relecture) à raison de 8-10 h par jour, samedi compris,…
Lire la suiteLe Pulitzer a toujours un prix…

Bon, vous le savez sûrement aujourd’hui, Le Chardonneret, ou plutôt The Goldfinch, a reçu le prix Pulitzer 2014, catégorie « fiction ». Autant vous dire que cela fait un drôle d’effet, même si je ne suis qu’indirectement concernée, car c’est l’original qui a reçu le prix, pas ma traduction. Les effets ont été assez immédiats : la…
Lire la suiteLes salons du livre : faut-il y aller ?

Vous avez dit salons du livre ? Forte de ma dernière expérience positive à la Foire du livre de Bruxelles, je me propose de vous la détailler pour mémoire un peu plus loin, non sans oublier de vous rappeler que c’est un siège en règle de l’éditeur (feu Hors Commerce) de mon roman (Le Bûcher des…
Lire la suiteVous reprendrez bien un peu de Tartt ?

Titre attendu (et facile, mille excuses) pour un succès, celui du Chardonneret de Donna Tartt qui, de ma part, ne l’était pas à ce point-là ! Je me dois de préciser par ailleurs que ce genre de battage médiatique est rare dans une vie de traducteur, la plupart croupissant dans la traduction sous-payée de…
Lire la suiteUn siècle de retard, ou une traduction qui se cherche…

Eh bien, à force de gratter, et surtout d’échanger avec son (charmant) auteur, je viens de découvrir que ma traduction du moment – Merivel, a man of his time – annoncée dans les épisodes précédents comme étant du XIXe, puis du XVIIIe, était finalement du… XVIIe ! Voici au moins une bonne chose de réglée ! Mais…
Lire la suiteTraduttore, traditore ?

Ah, la grande question est de nouveau lancée ! Et je ne peux vous garantir que j’y répondrai, même si, profondément, je suis d’emblée assez convaincue que toute traduction, aussi bonne soit-elle, est forcément une trahison puisque transposant dans un contexte allochtone une histoire autochtone… Mais mon propos ici sera moins théorique et plus pratique…
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