Le traducteur, pervers polymorphe ?
L’idée de ce titre m’est venue alors que l’on vient de me proposer ma trente-deuxième traduction qui promet de me faire relever tous les défis, et me porte à croire qu’un traducteur littéraire, s’il veut travailler, doit vraiment savoir tout faire, ou plutôt tout traduire, être d’une polyvalence intellectuelle pour le moins élastique ! J’ai traduit en…