Eloge de la liseuse

Vous avez dit liseuse ? Longtemps réfractaire à l’idée de lire sur tablette ou liseuse, c’est mon appartement qui a fini par avoir le dernier mot ! Pourquoi ? Comment ? Parce qu’un jour il m’a fait comprendre – à force de livres empilés dans les toilettes (bien sûr), sur la machine à laver (c’est…

Lettre à une jeune traductrice

Il y a peu j’ai été contactée par une charmante étudiante en traduction désirant savoir que faire de son mémoire de Master (en espagnol) qu’elle aurait bien aimé faire publier… Je me suis alors entendue lui dérouler la liste des mises en garde qui s’imposent, ainsi que celle des misères susceptibles de la guetter au coin…

A new beginning…

Fin de l’aventure Je vous l’avais annoncé, Merviel, c’est terminé ! 🙂 Et je vous l’annonce encore : non seulement c’est terminé, mais l’éditrice s’est dite enchantée ! A raison de douze relectures, le contraire m’aurait quelque peu contrariée… Le deuxième tiers (dû à la remise) a été versé, reste le troisième (dû à l’acceptation)….

Lettre ouverte aux étudiants en traduction littéraire de l’ITIRI

De l’administration et de ses ennuis… Mardi dernier, le 16 octobre, j’aurais dû donner une conférence sur la traduction littéraire à l’Université de Strasbourg (ITRI). Pour de sombres raisons administratives que je vous épargne, cette rencontre n’a pas eu lieu et je le déplore, car elle m’aurait donné, pour la première fois depuis bien longtemps,…

Errare humanum est, ou les errements d’une traduction classique

Je vous entretenais la semaine dernière de mon désarroi face à un nouveau texte que l’on me proposait de traduire et qui m’avait quelque peu surprise par son style, que j’estimais être du dix-neuvième, et pour lequel je me promettais de relire tout à la fois Jane Austen et Thomas Hardy, Flaubert et Balzac. Tragique…

Traduttore, traditore ?

Ah, la grande question est de nouveau lancée ! Et je ne peux vous garantir que j’y répondrai, même si, profondément, je suis d’emblée assez convaincue que toute traduction, aussi bonne soit-elle, est forcément une trahison puisque transposant dans un contexte allochtone une histoire autochtone… Mais mon propos ici sera moins théorique et plus pratique…